Le Chat du Rabbin, César 2012 du meilleur film d'animation
Dans un décor luxuriant de jardins et tapis orientaux, il plante un héros qui semble sorti d'une poubelle : un chat écorché, anguleux, l'air d'avoir avalé un sac de clous. Ayant acquis l'usage de la parole après avoir bouffé le perroquet de la maison, le chat est devenu extrêmement bavard. Il est même passé maître dans l'art d'ergoter et de chipoter à n'en plus finir. Le résultat est une sorte de conte philosophique d'une grande beauté graphique, une merveille de subtilité, d'émotion et d'ironie. ![]() Partager :
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