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Publié le 01/03/12


La vie n’est pas linĂ©aire : la modularitĂ© des prĂȘts permet d’éviter l’accident financier


AcquĂ©rir sa rĂ©sidence principale est le rĂȘve de la majoritĂ© des français. Pour le concrĂ©tiser, le passage par un financement est une Ă©tape obligatoire pour la quasi totalitĂ© d'entre eux. Or, force est de constater que le contexte actuel, sur ce sujet comme sur bien d'autres, est loin d'ĂȘtre rassurant :





- Quel est le devenir Ă©conomique de la France ?
- Quel est celui de mon secteur d'activitĂ©, de mon entreprise ou de mon emploi ? SensibilisĂ© par l'exemple grec, certes extrĂȘme, comment puis-je ĂȘtre certain de ne pas ĂȘtre concrĂštement atteint par la crise, alors que tous les salariĂ©s du secteur privĂ© comme du secteur public semblent pouvoir l'ĂȘtre ?
- Quelle sera la valeur du bien que j'achĂšte ?
- Dans 10 ans ? Dans 15 ans ? Au terme de mon prĂȘt ?

Ces questions, anxiogÚnes, précÚdent évidemment tout engagement et confirment qu'une démarche d'emprunt, pour une durée de 20 ans, avec des mensualités fixes qu'il faudra honorer chaque mois, ne constitue jamais une décision facile, à prendre à la légÚre.

Pour autant, il ne faut pas oublier que le fonctionnement d'un financement n'est pas aussi simpliste, ni mĂȘme aussi rigide. 20 ans, soit 240 mensualitĂ©s au montant fixe, sans rien pouvoir y changer ! Qui s'engagerait aujourd'hui sur une telle planification, sans aucune souplesse ?

Prendrions-nous l'autoroute Ă  une vitesse constante obligatoire, par exemple 110 km/h, sans jamais pouvoir ni freiner, ni accĂ©lĂ©rer, quelle que soit la circulation autour de nous ? Ce serait l'accident assurĂ©. La modularitĂ© de la vitesse permet de l'Ă©viter.De la mĂȘme maniĂšre, la modularitĂ© des prĂȘts doit permettre d'Ă©viter l'accident financier.

Selon David Lacroix, Directeur gĂ©nĂ©ral des agences VousFinancer.com de Paris 11Ăšme, Toulouse et Montpellier « Les prĂȘts modulables autorisent en effet les emprunteurs :

- à « ralentir », en diminuant les échéances, quand, financiÚrement, ils rencontrent un « incident de route » (perte d'emploi, chÎmage technique, séparation, maladie, ...).
- Ă  « s'arrĂȘter sur une aire », en suspendant les Ă©chĂ©ances sur une durĂ©e dĂ©finie (entre 3 et 12 mois), afin qu'ils reprennent leur Ă©lan.
- à « accélérer », quand la voie se libÚre et qu'ils deviennent davantage à l'aise, en augmentant leurs échéances, afin de procéder à un remboursement plus rapide.

Diminution / augmentation / suspension des Ă©chĂ©ances, rĂ©duction ou rallongement de la durĂ©e du prĂȘt... autant de possibilitĂ©s qui leur donnent de la souplesse et de la sĂ©curitĂ©.

« La vie n'est jamais linéaire, et il faut prévoir, dÚs à présent, que les données peuvent changer dans quelques temps.. Et que chaque financement doit pouvoir s'y adapter », ajoute David Lacroix.



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