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Publié le 05/06/12


Dommage qu’elle soit une putain

Evènement passé.

Du 7 au 10 décembre 2012 à Nantes (44).

Une relation incestueuse, un banquet, du poison, des cris, des larmes. C'est toute la force et toute la violence du théâtre élisabéthain que l'on retrouve dans Dommage qu'elle soit une putain. Toute sa noirceur. Tous ses élans débridés. Pour la première fois à Nantes, le grand metteur en scène britannique Declan Donnellan présente une version puissante et libre de la pièce de John Ford. Une version où il prend visiblement plaisir à entrelacer l'atmosphère de la pièce élisabéthaine avec l'esthétique « punk gothique » qui renvoie à une autre tradition très british.


On y chante. On y danse. Et s'y déploie toute l'intensité organique des acteurs anglais (la représentation est en langue originale, sur-titrée). « Le travail du comédien repose sur deux fonctions précises du corps humain : les sens et l'imagination, expliquait Declan Donnellan, en octobre 2011, dans le journal La Terrasse. Ce travail consiste essentiellement à examiner le plus profondément possible la nature de l'être humain. Depuis la scène, il s'agit donc de retourner à la vie. » Un retour à la vie qui passe ici par de saisissants clairs-obscurs et par les ardeurs de la passion amoureuse.

MISE EN SCÈNE : Declan Donnellan
SCENOGRAPHIE : NICK ORMEROD

Dommage qu'elle soit une putain
Du 07 au 10 décembre 2012
Grand T
84, rue du Général Buat
44001 Nantes

Tél : 02 51 88 25 25


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